En février 2010, je souscris au contrat d’assurance automobile '' Pay as you drive '' d’ Amaguiz.
Le montant de cette assurance est proportionnel au nombre de kilomètres parcourus. Celui-ci est télétransmis à Amaguiz grâce à un boitier électronique installé dans ma voiture par un garagiste agréé.
Cette formule permet aux conducteurs effectuant peu de trajets d’avoir une prime d’assurance moins élevée qu’une formule classique.
Cette assurance prend fin en janvier 2011, une fois ma demande de résiliation effectuée et le boitier électronique restitué.
Par lettre recommandée du 28 septembre 2011, Amaguiz me réclame 100 EUR de prime d’assurance. Il y stipule qu’une action en recouvrement sera engagée si je ne le règle pas et que des rappels ont été effectués.
Je ne donne aucune suite à sa réclamation. Toutes les primes ont été honorées et nul rappel n’a précédé son courrier.
En décembre 2011, une société de recouvrement '' Effico '' mandatée par Amaguiz, me réclame par courrier ces 100 EUR, majorés de 15 EUR ; non pour une prime d’assurance, mais pour le boitier électronique (restitué 11 mois auparavant).
D'après ce courrier, la résiliation de mon assurance résulterait d'une décision d'Amaguiz et pour un défaut de paiement de ma part. La mention '' motif de résiliation : client '' de mon relevé d’information et le trop perçu obtenu témoignent du contraire.
Alors le 30 décembre 2011, dans un courrier appuyé de pièces attestant mes dires, je demande à Amaguiz de justifier ces allégations et lui signale la bassesse de son procédé : '' la perte, la destruction, la non-conservation ou l’égarement des documents peuvent rendre tout ancien assuré aussitôt fautif ''.
Quelques semaines plus tard, un responsable d’Amaguiz annonce cesser son action dans un message téléphonique ; puis me notifie par courriel : '' je vous confirme avoir procédé à l’annulation de votre dette chez Effico ''.